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La Saint-Valentin : Amour ou Business ?

Rendez-vous immanquable des couples à travers le monde, la Saint Valentin n’en reste pas moins un évènement d’importance pour les commerçants, que ce soit pour les bijoux, les parfums, les fleurs, les chocolats, les séjours, les dîners au restaurant ou la lingerie !

 

1. AMOUR TOUJOURS, OUI MAIS… TOUS LES JOURS

Moment romantique pour beaucoup, le 14 février est l’occasion de porter de l’attention à l’autre, créer la surprise et lui montrer à quel point le cadeau qu’on a pris soin d’anticiper prouve l’amour qu’on lui porte.

Oui mais. Pour d’autres, que nous n’arriverons sans doute pas à réconcilier avec cette journée, cela reste un évènement orchestré par des ambitions mercantiles ce qui viendrait gâcher leur plaisir d’offrir. Malgré cela, même si la plupart des Français s’accordent à trouver la Saint Valentin commerciale, la grande majorité d’entre eux  offrent pourtant un cadeau à leur dulciné.e pour cette occasion. Personne ne veut passer pour un mufle ou vexer l’autre en lui laissant croire qu’on a oublié la petite attention qui fait plaisir !

Et oui, parce qu’au fond, n’est ce pas surtout le fait de faire la même chose que tous les autres, en même temps, qui peut nous faire sentir profondément communs alors que nous voudrions tous être des modèles d’originalité et de singularité ?

Ces mêmes personnes qui rejettent la Saint Valentin pensent-elles en réalité à offrir des petites attentions à leur amoureux.se à un autre moment dans l’année, sans occasion particulière ni anniversaire ou se laissent-elles finalement déborder par le train-train du quotidien sans honorer en particulier l’amour qui les unit à l’autre ?

Bien sûr, rien ne vous interdit d’adresser régulièrement des petites attentions à votre moitié, y compris des choses qui ne coûtent rien : une lettre d’amour, une soirée tamisée au coin du feu, une balade en forêt la main dans la main, … que ce soit le 14 février ou tout autre jour de l’année !

 

 

2. DES IDEES POUR ENVOYER DU LOVE A GOGO 

Oui, du love à gogo, parce que chez Allande, nous avons une vision véritablement romantique de la Saint Valentin : nous n’avons que faire du diktat du jour de l’Amour, mais souhaitons saisir cette journée comme la chance de montrer sa profonde affection, son amour inconditionnel ou sa passion dévorante !

 

Notre suggestion pour cette année ?

Prenez soin de concocter, en rentrant plus tôt, un dîner rose, en ayant confectionné une table originale. Cela fait toujours plaisir !

Rose et argenté, rouge et noir, rose et blanc, choisissez l’association que vous préférez et qui vous demande le moins possible d’achats d’accessoires.

L’amour se cache dans les détails !

 

Voici 3 tables pas kitch du tout pour la Saint Valentin : ici !

…et celle-ci est notre préférée !!! 

Cachée sous l’assiette, vous y aurez glissé une carte-cadeau Allande/Tanaïs. A moins que la ligne noire et fuchsia MON AUDACE, qui se prête particulièrement bien à l’occasion, vous ait tapé dans l’oeil et que vous placiez une parure sous la serviette. Un dîner qui fera à coup sûr son effet !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Enfin, voici nos idées de recettes de saison pour un dîner qui vous fera voir la vie en rose :

 

 

3. HONORER LA SAINT-VALENTIN AUTOUR DE SOI 

Et pourquoi ne pas envisager de considérer la Saint Valentin comme une occasion de célébrer l’amitié également (comme le fond beaucoup d’Américains) , ou même de respect professionnel (chez les Japonais) ?

Chez Allande, les soldes courent encore pour quelques jours et nous proposons des cartes cadeaux pour tous les budgets, afin de laisser libre choix du modèle ou de la couleur à votre bien-aimée, votre amie de longue date ou une collègue qui vous a rendu une fière chandelle !

Si vous êtes une fidèle des vêtements Tanaïs ou de la lingerie fine Allande,  vous pouvez simplement partager nos publications, notre page Facebook ou commenter nos posts Instagram en y invitant vos ami.e.s à découvrir notre Maison de Lingerie.

 

Alors, qu’allez-vous organiser cette année pour votre Valentin.e ?

Nous vous souhaitons de vivre une journée de Saint Valentin vibrante et surprenante… n’hésitez pas à venir nous la raconter par ici !

 

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Devenir corsetière chez Allande

Fin 2021, à notre atelier d’Epinal, Catherine a remis des médailles à certaines « figures » de l’atelier, récompensant leur travail et leur implication tout au long de ces années au sein de l’Entreprise Allande.

10 médailles du travail ont été décernées, argent, vermeil, or et même grand-or ! 40 ans au service de votre lingerie fine et du MADE IN FRANCE !

 

Enfin, 2 départs en retraite ont été applaudis lors d’un pot de l’amitié.

 

Encore merci à toutes pour votre investissement et longévité dans l’Entreprise !

Plus qu’un travail, un véritable savoir-faire

A notre atelier d’Epinal (Vosges – 88), comme à celui du Dorat (Haute Vienne – 87), un petit bataillon de corsetières que nous appelons aussi affectueusement « nos petites mains », rapport à la précision et la minutie dont elles doivent faire preuve, réalisent votre lingerie fine.

 

 

La qualité et la durabilité de notre lingerie est directement liée à ces femmes qui réalisent, mettent au point, et confectionnent souvent depuis des années vos soutien-gorges, culottes, caracos, bodys, au parfait bien-aller.

 

Les matières premières qu’elles utilisent chaque saison ont été sélectionnées avec soin par Catherine et son équipe de style : des broderies précieuses, des dentelles raffinées, des mailles d’exception. Toutes ces matières ont une valeur importante et ne laissent pas le droit à l’erreur à la coupe ou derrière la machine à piquer.

C’est pourquoi la technicité et l’expérience de nos corsetières sont essentielles à la réussite de nos articles de lingerie et même certains modèles de prêt-à-porter estampillés 100% MADE IN FRANCE.

 

 

La fabrication française, ADN d’Allande

Autour de ces femmes détentrices d’un savoir-faire corsetier unique, d’autres emplois, au conditionnement, à l’expédition, à la logistique, au commercial, à la comptabilité etc… s’articulent pour former la grande famille Allande.

Notre société a une responsabilité vis-à-vis de ces emplois sur nos territoires, qu’elle veut conserver et même tenter d’augmenter.

 

La fabrication française fait partie de l’ADN de la société ALLANDE, depuis le départ de l’aventure, et selon le souhait de son fondateur M. Lefebvre.

Aujourd’hui à la direction de la Société, Catherine Lefebvre s’applique chaque jour à maintenir ces valeurs fortes.

 

Ainsi, pour conserver ces emplois, il s’agit de toujours garder à l’esprit que la transmission de ce savoir-faire est essentielle dans la démarche du MADE IN FRANCE.

 

 

La culture du savoir transmettre

Allande se doit donc d’anticiper les départs auxquels chaque entreprise fait face à un moment donné. Chez Allande, nous avons la chance de pouvoir compter sur nos corsetières pendant de longues années. Les remises de médailles sont l’occasion de récompenser 20, 25, 30 et même 40 ans d’expérience.

Autant il peut être difficile et fastidieux de maîtriser totalement ce savoir-faire corsetier, autant il est certainement une source de grande satisfaction quand on dompte les outils et les techniques et qu’on a la joie de voir des rouleaux de matières premières se transformer en magnifique lingerie de luxe que nos clientes adorent et attendent chaque saison !

 

Il faut compter deux années de formation avant qu’une « nouvelle recrue » acquiert intégralement cette technicité si particulière, propre à ce métier et qu’elle soit totalement autonome.

 

C’est long !

 

C’est pourquoi Allande doit impérativement prévoir le recrutement de ces nouvelles « petites mains » et leur laisser le temps nécessaire pour être pleinement opérationnelles. Une attention toute particulière est portée à la formation interne de cette relève, précieuse ressource de nos métiers à la limite de l’artisanat d’art.

 

Ainsi a germé l’idée d’une Ecole de Corsèterie Allande.

 

Chaque année, Olivier Duclos, le D.G. de l’Entreprise recrute une « promo » pour intégrer les ateliers, soit par goût de la mode, de la couture ou même de la marque, prête à s’investir dans l’acquisition de ces techniques.

Mois après mois, ces personnes, jeunes ou moins jeunes, s’exercent pour chaque type d’opération et sur chaque type de machine jusqu’à maîtriser cette excellence d’exception. Au bout des deux années de formation, elle sont en pleine possession de leurs moyens pour créer avec passion, innover tout en respectant une certaine tradition, et pouvoir transmettre à leur tour.

 

Actuellement 7 personnes sont en cours de formation, 2 viennent d’être embauchées au Dorat en février à l’issue de leur parcours interne, et 5 jeunes bac pro métiers de la mode rejoindront les rangs de la formation de l’entreprise après avoir validé leur cursus au lycée.

Nous vous ferons certainement une visite des ateliers et une présentation de ces nouveaux profils dans un prochain article. Ça vous dit ?

 

La fabrication française est certainement un moteur pour tous, afin que nous puissions pérenniser nos emplois en France et faire perdurer ce savoir-faire unique que le monde entier nous envie !

 

 

Êtes-vous passionnée par ces métiers techniques et créatifs de la mode ?

Vous sentez-vous concernée par cette formation interne ou connaissez-vous une personne que cela pourrait intéresser ?

Vous voulez en savoir plus, pour peut-être intégrer les équipes de corsetières Allande ?

 

Retrouvez→  l’histoire de notre marque  ici !

 

Laissez-nous un commentaire ou partagez cet article !

2 Commentaires | Étiquettes : , , , , ,

#NOUSRECRUTONS

 
 
 
Etre conseillère de mode Allande/Tanaïs c’est UN METIER A PART ENTIERE
et la garantie d’une REMUNERATION PARMI LES MEILLEURES DU SECTEUR.
 
Mais pas que…
 
C’est aussi :
– être libre et indépendante, travailler en autonomie, à votre rythme, à temps plein ou à temps choisi,
– avoir de la disponibiilté, quand vos enfants, votre famille ou vos loisirs l’exigent,
– décider seule quelle est la meilleure organisation pour vous-même,
– exercer un métier passion où chaque jour est différent,
– favoriser une vie de contacts où l’humain est au centre de votre activité,
– apprendre et transmettre,
– déployer sa confiance en soi, évoluer et grandir,
– développer un réseau de clientes, de collègues et d’amitiés, et trouver du plaisir à les retrouver.
 
Et ce n’est pas tout !
– être formée au siège,  suivie par une responsable locale et entourée d’une équipe bienveillante,
– participer à des challenges, pouvoir accéder à des cadeaux, des voyages,
– se sentir maître de son destin, évoluer et améliorer sa vie aussi bien humainement que financièrement,
– gérer ses revenus en fonction du temps accordé à votre activité,
– voir vos revenus augmenter à la mesure de votre implication, sans plafond de verre.
 
Et d’un point de vue éthique et des valeurs de vie :
– être fière de soutenir une entreprise familiale porteuse de valeurs fortes et de transmission,
– participer au maintien d’un authentique savoir-faire corsetier et des emplois sur le territoire français,
– se sentir alignée avec l’esprit d’entreprise d’une dirigeante femme, qui travaille à l’épanouissement des femmes et à l’esprit de famille,
– représenter des produits créatifs et qualitatifs, créés sous le label EPV qui récompense les meilleures entreprises françaises,
– défendre le Made in France et les choix raisonnés en faveur d’environnement,
– accompagner la révolution du secteur textile aux prix justes dans votre entourage.
 
 

Où que vous soyez, en France ou à l’étranger, vous pouvez nous rejoindre.

Envoyez-nous AUJOURD’HUI votre mail à recrutement@allande.fr

ou laissez-nous vos coordonnées sur www.allande.fr/fr/devenez-conseillere.html

pour en savoir plus sur le métier de CONSEILLERE DE MODE.

 

 
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Le Made in France, LA solution écologique


 

page3image46089920 Savez-vous vraiment ce qu’est l’Empreinte Carbone ?

 

L’Empreinte Carbone, c’est une formule pour décrire les émissions de gaz à effet de serre qu’une personne, une entreprise ou, plus largement, une activité peut générer et donc polluer.
Le principe est simple : la Terre est entourée d’atmosphère qui opère comme une bulle autour de la planète et la protège. S’il n’y avait pas cette atmosphère, il ferait -50° sur Terre, ce qui ne permettrait pas la vie !

Il est donc vital pour toute l’humanité de préserver cette atmosphère.
Or, en émettant des gaz à effet de serre, les activités humaines créent de la chaleur qui montent dans l’air et se trouve retenue par la bulle d’atmosphère. Ainsi elle réchauffe tout ce qui se trouve en dessous, c’est à dire, notre climat !
Et c’est ainsi qu’il se dégrade, et que l’on commence à parler de réchauffement et de dérèglement climatique, engendrant de nombreuses conséquences néfastes à notre vie, voire notre survie.

 

Chaque activité qui émet de la chaleur, de la pollution, est exprimée en kilo d’émission de CO2 (Dioxyde de Carbone, gaz toxique qui a une durée de vie de 100 ans dans l’atmosphère), c’est pourquoi on appelle cela l’Empreinte Carbone.

 

En ce début d’année 2021, l’UIT (Union des Industries Textiles) a sorti les résultats d’une étude sur l’Empreinte Carbone du secteur Textile en France. Nous vous proposons de vous en parler maintenant, car cette étude révèle qu’il existe des solutions à notre portée !

 

Si vous voulez plus d’informations et lire le rapport complet de l’étude, c’est ici :

https://www.textile.fr/fabriquer-en-france-pour-reduire-l-empreinte-carbone-textile

 

 

page3image46089920 Tout d’abord, quelle est la situation actuelle ?

 

Malheureusement, elle n’est pas glorieuse !
Notre mode de fonctionnement, en tant que consommateur, a incité l’industrie textile à se tourner vers toujours plus de nouveautés, toujours plus de production, toujours plus loin pour améliorer les marges qui amortissent les couts de développement lointain, en grandes quantités. Et tout cela sans se soucier du cout écologique de la fabrication, du transport et du stockage que ces importations massives peuvent représenter.
Ainsi, en 2019, il a été établi que chaque kilo de textile produit dans le monde émet actuellement l’équivalent de 54kg de CO2.
C’est très facile à comprendre : dîtes-vous qu’à chaque kilo de vêtement que vous portez, ce serait comme si vous en portiez 54 !
Vous imaginez maintenant le surpoids qu’on génère !

 

Le Ministère de la Transition Ecologique indique qu’en 2019, le secteur textile français (comprenant l’industrie globale de l’habillement et du linge de maison) était le 5ème secteur le plus polluant en terme d’émissions de gaz à effet de serre, derrière l’automobile, l’industrie pharmaceutique et la chimie entre autres. Mais surtout, le secteur textile alourdit son Empreinte Carbone à cause de ses importations, qui représentent 95,7% du textile vendu en France.
Vous imaginez cela ? Seuls 4,3% du textile vendu en 2019 provenaient de production française !

 

 

En terme de CO2, cela représente une Empreinte Carbone totale pour le secteur Textile français de près de 30 millions de tonnes en 2019, dont seulement 80.000 tonnes proviennent de la production française.
C’est à dire qu’en 2019, les productions de textile français représentent seulement 0,3% du CO2 émis par l’ensemble du secteur ! Ça mérite un grand bravo pour la production française. On aurait bien envie de miser davantage sur la France, non ?

 

Pour simplifier, l’étude indique que chaque français achète l’équivalent de 8kg de textile par an, ce qui génère 442kg de CO2 par habitant et par an. C’est trop ! Si nous n’achetions que des produits textiles produits en France, cette émission de CO2 serait déjà réduite de moitié !

 

Vous la voyez la solution à l’horizon ? 🙂

 

 

page3image46089920 Que devrions-nous chercher à améliorer ?

Lors des Accords de Paris en 2015, la France s’est engagée à diviser son Empreinte Carbone par 6 d’ici 2050. C’est à dire que nous avons 30 ans pour améliorer notre copie, et pour cela, tous les sommets COP sont des rendez-vous essentiels qui échelonnent nos progrès et permettent de voir si nous suivons bien notre calendrier.

 

L’étude de l’UIT indique que les émissions de GES (gaz à effet de serre) se répartissent sur plusieurs étapes du cycle de vie d’un article textile. Il y a donc plusieurs domaines à améliorer simultanément.

 

L’UIT les segmente ainsi :
– la transformation des fibres et fils – le tricotage et tissage
– l’ennoblissement
– la confection

 

auxquels on peut ajouter les domaines suivants :
– le mix énergétique (c’est la manière dont le pays de fabrication produit son électricité) – l’ecoconception
– la distribution et le transport
– les invendus & la fin de vie des produits

 

 

page3image46089920 Qu’observe-t-on comme changement possible et significatif ?

 

Pour respecter notre engagement, le levier le plus fort c’est … le MADE IN FRANCE !

En effet, l’étude de l’UIT met en lumière le fait que ramener l’ensemble de la chaîne de fabrication des produits textiles en France (de la transformation des fibres jusqu’à la confection) réduirait de 50% notre Empreinte Carbone totale !

 

Et ce n’est pas tout. Plus nous ramenons la production textile sur le territoire français, plus nous observons des effets bénéfiques conséquents :
– réindustrialiser notre territoire et reprendre possession de nos savoir-faire

– créer des emplois

– créer de la richesse localement

– réduire les invendus (car, étant plus réactifs, nous produisons mieux et au plus près du besoin des consommateurs)

 

Pour ce qui concerne la création d’emplois, c’est colossal ! L’UIT évalue à 4000 emplois créés pour chaque 1% de production textile ramené en France.
Vous souvenez-vous du montant du textile importé en 2019 ? C’est 95,7% !

 

Donc cela signifie que si nous ramenons déjà ce chiffre à 50% et réussissons à réduire nos importations textiles de moitié, cela représenterait près de 200.000 emplois créés sur le territoire français. C’est l’équivalent de la ville de Rennes.

 

Pour nous qui sommes installés sur Epinal et sur le Dorat, c’est l’équivalent de 6 villes grandes comme Epinal ou 120 villes comme Le Dorat ! Vous imaginez l’impact ?

 

Parfois les chiffres sont tellement énormes qu’ils ne nous parlent plus, mais quand on les remet à l’échelle de ce qu’on connait, tout à coup, tout devient limpide.

 

 

page3image46089920 Quelles solutions concrètes s’offrent à nous, en tant que consommateurs ?

 

1. SOLUTION N°1 : miser à fond sur le MADE IN FRANCE

Allande a compris cela depuis longtemps et n’a jamais délocalisé le moindre centimètre de lingerie fine depuis sa création en 1984. Cet engagement a été récompensé du label ENTREPRISE DU PATRIMOINE VIVANT.

Nos conseillères en sont fières, mais nos clientes n’ont simplement pas conscience qu’en étant fidèles à Allande depuis tant d’années, elles observent une attitude écologique irréprochable ! Nous tenons ici à les éclairer et à les en remercier.

 

Mais cela peut ne pas suffire pour atteindre notre objectif de 2050, et nos efforts doivent également poursuivre les pistes suivantes : Par exemple :

 

2. SOLUTION N°2 : avantager le commerce propre

Réduire l’impact de la distribution et du transport sont deux points grandement améliorés par le mode de fonctionnement de l’entreprise Allande, en comparaison d’un mode de distribution classique, en boutique.
En réduisant le nombre d’intermédiaires, et en distribuant ses produits directement du producteur au consommateur, Allande réduit, rien que sur le transport, de 10 à 15% l’Empreinte Carbone par rapport à une enseigne dite classique qui produit en Chine et vend en boutiques ou en grandes surfaces.

 

3. SOLUTION N°3 : favoriser les produits éco-conçus

Autant que possible, pour encourager les entreprises à innover et créer toujours plus de matières écoresponsables locales, nous devons nous sensibiliser aux nouvelles matières (viscose, modal, lyocell, bambou), ainsi qu’au retour des matières dites naturelles et françaises (lin, chanvre, laine).

Allande est transparent sur ses méthodes. Retrouvez toutes nos explications sur les matières naturelles, cellulosiques et synthétiques, dans notre article GUIDE DES MATIERES dans le blog : https://www.lesdessousdecatherine.com/culture-mode/guide-des-matieres-allande-tanais/

 

4. SOLUTION N°4 : profiter des invendus

L’étude de l’UIT valorise la production française en indiquant qu’elle permet de mieux fonctionner en circuit court. Plus besoin pour l’entreprise de commander longtemps à l’avance des quantités astronomiques de produits à bas prix qui finiront, pour partie, stockés car invendus.

 

Avec la production locale, la réactivité permet aux entreprises de s’adapter à la demande quasiment en temps réel (on parle de production Just-in-Time) et de ne produire que le juste nécessaire.
L’ajustement de la bonne production et la réduction des stocks par la limitation des invendus est un point clef des avantages du Made in France, car elle permet de réduire de 25% l’Empreinte Carbone totale, ce qui est énorme !

 

Cela, Allande l’a compris depuis longtemps et propose, deux fois par an, des réductions sur des articles des saisons précédentes, afin de réduire ses invendus et limiter encore son Empreinte Carbone.
C’est à dire qu’en achetant des articles en promotions en janvier-février et en juillet-aout, vous vous faîtes plaisir à prix réduits, en participant activement à limiter les émissions de CO2 du secteur textile en France.

 

5. SOLUTION N°5 : améliorer la fin de vie des produits

Le dernier stade que l’article textile atteint, c’est la manière dont il finit sa vie.
Quel que soit le pays de production, le problème de la fin de vie des produits textiles représente environ 5% des émissions de GES des entreprises françaises. Ce n’est donc pas anecdotique.

 

Le recyclage et le seconde main sont deux axes qui sont amenés à se développer dans le futur.

 

Depuis déjà de nombreuses années, Allande participe au financement de la transition vers l’économie circulaire du secteur textile, en coopérant avec l’éco-organisme REFASHION qui collecte, répare, réutilise, recycle, réinvente la fin de vie des articles textiles.

https://refashion.fr

Pour une action citoyenne, apportez les vêtements que vous ne portez plus dans un des 46.000 points de collecte en France.

Trouvez le vôtre sur cette carte : https://refashion.fr/citoyen/fr/je-dépose

Il y en a forcément un près de chez vous !

 

 

Pour finir, l’étude de l’UIT propose des moyens d’action et de mesure pour limiter au maximum son Empreinte Carbone, que ce soit à l’échelle individuelle ou industrielle.

 

L’organisme propose ainsi de mettre en place deux outils principaux :

  • une étiquette de traçabilité : pour renseigner le consommateur sur les 4 étapes de fabrication d’un produit textile : la transformation des fibres et fils, le tricotage et tissage, l’ennoblissement et la confection.
  • un baromètre carbone annuel : pour mesurer l’Empreinte Carbone de toute la filière textile française et mesurer, années après années, l’amélioration de ce score.

 

Que pensez-vous de tout cela ?

Ce sujet vous intéresse-t-il, vous inquiète ?

Voulez-vous vous sentir mieux renseignés et plus impliqués ?

Voulez-vous vous sentir plus actifs dans le changement de nos modes de fonctionnement et consommation,

tout du long de la vie d’un article textile ?

Etes vous convaincus par l’utilité des deux outils proposés par l’UIT ?

 

page3image46089920  

Parmi les 5 solutions proposées,

quelle est celle qui vous semble la plus facile à mettre en oeuvre dès aujourd’hui ?

Laissez-nous un commentaire, votre avis nous intéresse !

 

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